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Pierre S. Adjété
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.




Triste... Dans ce Togo, tout est chef de l'État; tout le monde implore la clémence du chef de l'État... Et pourtant, au Togo, il n'y a pas d'État depuis soixante ans... Le Togo n'est pas chanceux ! Simplement dit... La Diaspora doit sauver le Togo de tant d'inconduites et d'incongruités... Souveraineté Diaspora !


Pas Chanceux, ce Togo-ci!
Triste... Dans ce Togo, tout est chef de l'État; tout le monde implore la clémence du chef de l'État...

Le problème c'est qu'il n'y a pas un État, il y a un pays probablement ou encore un amoncellement de parentés, des Alliés et des groupes d'intérêt périphériques. Lorsque l'avocat de Victoire S. TOMÉGAH-DOGBÉ contre le journal LIBERTÉ est le fameux Me Jil-Benoit Afangbédji ont voit bien qu'il n'existe aucune limite, aucune subtilité qu'imposerait l'existence d'un État de droit ainsi que les conflits d'intérêts, réels ou apparents, à éviter dans la profession particulière d'avocat où l'on ne peut servir deux maîtres à la fois, le Dieu Justice et le dieu argent Mastercard.

S'il y avait État au Togo, il serait de droit et alors les uns et les autres auraient eu des recours contre l’État devant une juridiction indépendante. L'État apprendrait alors à mieux se comporter, et il s'éloignerait des crimes et actes répréhensibles. Les représentants de l'État sauront alors mieux se comporter, et devenir redevables de leurs actes.

De toutes les façons, contrairement aux apparences, le Togo est aussi dans cet état lamentable parce qu'il n'a eu que des juristes médiocres, sur toute la ligne et qui sont restés dans la profession, malheureusement. Et ce n'est pas pour rien que Charles Debbash avait fait la pluie et le beau temps au Togo, au nez et à la barbe des juristes togolais. Ces derniers n'étaient jamais capables de confronter suffisamment Debbash et le débusquer de son piédestal, encore moins interpréter en 1994 leur propre Constitution écrite deux années auparavant, etcetera etcétéra.

C'est tout un Plan de sauvetage qu'il faudra un jour, encore et encore, mettre en œuvre pour sauver la Justice togolaise ou faire naître une Justice nouvelle sur cette Terre.

L'incompétence au Togo est plus profonde que ces pauvres femmes, épouses d'enseignants révoqués, ne peuvent l'imaginer. Celui-là même ayant révoqué les enseignants prétend même avoir un doctorat en droit. Karamba ! Et ça dit tout, si l'on apprend que ce gars-là est même le président de l'Université de Lomé, là où va atterrir bientôt le fantôme de l'astronaute Youri Gagarine. Lui au moins, n'avait pas été révoqué par les siens... Pôvre Togo !

Le Togo n'est pas chanceux ! Simplement dit... La Diaspora doit sauver le Togo de tant d'inconduites et d'incongruités... Souveraineté Diaspora !


PSA
•5 février 2023•

Silence


Rédigé par Pierre S. Adjété le 05/02/2023 à 00:54
Tags : Démocratie Togo Éthique Notez



Ils étaient deux pacifistes, amis dans la vie, qui ne voulaient pas se battre contre des habitués de la tromperie et de l’arbitraire au Togo… Médard Amétépé et Zeus Aziadouvo au seul nom de LIBERTÉ, le journal, ils ont fini par symboliser un peuple !


La Bande à Faure Gnassingbé…
Ils étaient deux pacifistes, amis dans la vie, qui ne voulaient pas se battre contre des habitués de la tromperie et de l’arbitraire au Togo… Médard Amétépé et Zeus Aziadouvo au seul nom de LIBERTÉ, le journal, ils ont fini par symboliser un peuple !

Ils n’étaient donc que deux frêles symboles humains au départ, peut-être trois ou quatre, à ne pas vouloir porter l’estocade contre la ligature : Faure Gnassingbé, sa maîtresse première ministre Victoire S. TOMÉGAH-DOGBÉ et les membres d’un gouvernement qui accepte l’érection d’une statue de Youri Gagarine à l’Université de Lomé, alors que l’institution universitaire ne compte aucune effigie d’un seul chercheur togolais ni aucune statue en l’honneur du premier président du Togo assassiné depuis 60 ans, celui-là qui avait la passion de la fonction "Africanisation des cadres" et accordait un prix élevé à la formation chevronnée de ses concitoyens. Par les temps qui courent, il faut tout faire pour plaire à la Russie… Plaire autant à la FrançAfrique qu’à la Russie? Ben oui… Pourquoi pas !

Un besoin de formation de ces éternels imposteurs, mais surtout leur mépris de la compétence professionnelle ou du recyclage. Ce constat déteint sur tout le Togo à cause du somnambulisme manifeste de cet attroupement qui n’arrive plus à déguiser son incapacité à assumer le pays autrement que dans la vulgarité administrative : « la même affaire, dans une dualité de procédures, est sanctionnée deux fois par deux organes différents, l’un disciplinaire et l’autre juridique. Le journal Liberté se trouve ainsi pris en étau entre la justice et la Haac » a fini par relever un autre citoyen togolais.

Au Togo, au pays du Grand Pardon, la punition fait toujours loi chez des gens qui eux-mêmes sont loin d’être des modèles. Ainsi va le Togo confisqué par l’incompétence et l’intolérance, le dégoût, la répugnance, l’aversion et l’antipathie des siens. Je punis, donc je suis autorité togolaise !


La Bande à Faure Gnassingbé…
À quoi sert un Pays ?

À quoi sert alors un pays lorsqu’il est confisqué par les plus médiocres et les moins préparés à la charge publique ? Un tel pays en si mauvaise posture, le Togo, ne sert qu’à une seule chose, heureusement : aiguiser l’envie de sortir ces copains et copines, ces coquins et ces coquines ; arrêter leur marche permanente vers la confrontation totale…

La Bande à Faure Gnassingbé dont l’un des fidèles n’avait eu de propos que de conseiller aux mécontents opposants de prendre des armes pour les déloger du pouvoir auquel lui-même participe activement, ne possède d’argument que la visée de dilution de toutes les valeurs républicaines qui peuvent faire Nation.

Tout rend possible le bellicisme, absolument tout rend la brutalité permanente au Togo. Les usurpateurs de la gouverne du Togo n’ont aucune limite ; ils sont sans gêne, tellement qu’ils préparent assidûment une autre élection frelatée pour distribuer des rentes viagères et satisfaire les Adowuinon poussifs qui se déclareront candidats.

La Bande à Faure Gnassingbé ne sait rien offrir que des prébendes et avantages pour adoucir les impérities, inaptitudes et autres "déjà frappés" qui persistent dans le décor, et ne pouvant aucunement se permettre l’exil volontaire. Déshonorer les Togolaises et les Togolais n’a plus de limite au régime en place : aucune porte de sortie n’existe même aux modérés. Au contraire, LIBERTÉ, Médard Amétepé, Géraud Afangnowou, Zeus Aziadouvo d’abord, L’ALTERNATVE, Tampa Express et autres ensuite, sont acculés et étouffés à chaque occasion.

Incapables d’une politique d’endiguement, plus spécifique et proportionnée, c’est une guerre totale que la Bande à Faure Gnassingbé mène aux Togolais, sur tous les fronts, intérieur et extérieur, jusqu’à son épuisement propre. C’est cet épuisement que l’on constate aujourd’hui : le régime se bat contre tous les Togolais qui ne veulent véritablement pas se battre ; préférant d’attendre l’épuisement total de la Bande à Faure Gnassingbé pour contre-attaquer et balayer la maison. Le temps est certainement venu : le Togo ne peut rester si longtemps pris au piège d’une seule personne, d’un seul système.


PSA
•4 février 2023•



Mot à Maux


Rédigé par Pierre S. Adjété le 04/02/2023 à 10:00



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